

Technologies médicales impliquées
Radiothérapie
Ici, une vidéo présentant les atouts du CyberKnife, un accélérateur à particules miniaturisé.
Ce n'est pas cette machine là qui a été utilisée lors des séances de radiothérapie que j'ai faite.
Toutefois, l'hôpital Haut l'Evèque (où j'étais soigné). a acquis, quelques mois après mon traitement cette machine.
Selon le site du CHU de Bordeaux, Le premier patient traité par le Cyberknife a été accueilli le 28 juin 2018.
Si j'évoque ici le CyberKnife, et non pas la machine utilisée dans mon cas, c'est parce que, aujourd'hui l'arrivée de cet accélérateur, offre de nouvelles opportunités aux patients ayant des tumeurs cérébrales (dont le germinome), qu'elles soient bénignes, ou malignes.
De plus, il est intéressant d'évoquer la poly-fonctionnalité du CyberKnife : Il permet de traiter de nombreux types de tumeurs, présentes dans d'autres organes, notamment les tumeurs du poumons, du foie, du prancréas, et de la prostate.
Les avantages du CyberKnife par rapport à un accélérateur à particules classique sont nombreux :
Une précision infra-millimétrique : lors de chaque séance, un contrôle par imagerie est réalisé à chaque tir. 100 à 200 faisceaux (rayonnements) sont administrés depuis plusieurs directions afin d'épouser le mieux possible la forme de la tumeur.
Une irradiation indolore et peu toxique : Etant donné que la tumeur est ciblée par un très grand nombre de faisceaux qui, individuellement, apportent une faible dose, les tissus non ciblés sont davantage préservés des dommages parfois constatés en radiothérapie classique.
Le tracking : Outil supplémentaire de suivi en temps réel du positionnement précis de la tumeur, basé sur un système
d'imagerie à rayons X.